« Il faut avoir échoué 7 fois aux Etats-Unis avant de réussir. Condamner l’échec, c’est condamner le rebond. Condamner le rebond, c’est mettre l’expérience à la benne. Celui qui ne s’est pas planté ne peut pas pousser », commentait un jeune entrepreneur lors d’une table ronde sur l’entrepreneuriat.
« J’ai échoué, j’ai appris, j’ai progressé, j’en sais plus, je suis meilleur. Je mesure mieux mes faiblesses et mes forces. Les dirigeants ayant la plus forte croissance aux USA ont en moyenne créé à 45 ans », poursuit-il.
Et si l’échec arrêtait d’être tabou en France ?